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 Pour la Commission sur l’avenir de l’agriculture...

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3 participants
AuteurMessage
Michael
Rang: facilitateur
Michael


Nombre de messages : 182
Localisation : Verdun, métro LaSalle
Date d'inscription : 29/04/2005

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MessageSujet: Pour la Commission sur l’avenir de l’agriculture...   Pour la Commission sur l’avenir de l’agriculture... EmptyDim 4 Fév à 21:41

Participez à l’une des grandes réflexions de société sur l’agriculture et de l’alimentation dans l’histoire du Québec.
Joignez-vous à la démarche collective d’Aliments d’ici pour l’écriture d’un mémoire qui sera déposé dans le cadre de la grande Commission sur l’avenir de l’agriculture et l’agroalimentaire québécois (CAAAQ). www.caaaq.qc.ca


Contactez-nous à : alimentsdici@yahoo.ca

Introduction :
par Véronique Bouchard

Depuis sa fondation, Aliments d’ici favorise le partage des savoirs dans une démarche collective de recherche de solutions pour s’alimenter de façon saine, locale et abordable. Le forum de discussion de même que les rencontres formelles ou informelles d’Aliments d’ici contribuent à cette construction continuelle d’un savoir commun sur l’alimentation et l’agriculture. Le recueil d’Aliments d’ici constituait une première étape de diffusion de cette recherche collective.

Dans le contexte de l’ouverture des consultations publiques de la CAAAQ, nous pensons qu’il s’agit d’une occasion unique de pousser davantage notre réflexion sur les enjeux de l’alimentation locale et de s’unir pour rédiger un mémoire qui fasse la promotion de la localisation de l’agriculture et de l’alimentation auprès des instances gouvernementales qui détiennent un pouvoir important de changements sociaux. Nous comptons donc sur la participation d’un maximum de personnes intéressées par l’alimentation locale pour enrichir notre réflexion et rédiger ce mémoire qui constituera une deuxième étape importante de diffusion de la recherche collective de solutions d’Aliments d’ici.

Le mémoire comprendra trois volets :

1. Dans un premier temps, il s’agit de répertorier l’ensemble des organisations et groupes d’intérêt, d’ici et d’ailleurs, qui font la promotion de la localisation
2. Dans un deuxième temps, il s’agit de développer un argumentaire afin de faire valoir la localisation de l’agriculture comme solution pour régler les nombreuses problématiques de l’agroalimentaire au Québec et ailleurs dans le monde.
3. Dans un troisième temps, il s’agit de répertorier des pistes de solutions concrètes pour orchestrer une véritable localisation de l’alimentation au Québec.

Avant de se lancer dans la discussion, il est important de se rappeler de l’essence du projet d’Aliments d’ici, soit :
Pour une alimentation…
- Locale : des aliments cultivés, cueillis, transformés, etc. par des gens le plus près de nous possible;
- Saine : la plus naturelle possible et produite dans le respect de l’environnement;
- Abordable : viser la plus grande accessibilité des aliments locaux et sains pour éviter les effets néfastes d’une alimentation à deux vitesses, c’est-à-dire des produits de masse pour les uns (les pauvres) et des bons petits produits "bio", "de niche", du "terroir" pour les autres (les riches).


Premier volet : Les organisations et groupes d’intérêt

Dans le contexte actuel de crise généralisée dans le secteur de l’agroalimentaire, de plus en plus de citoyens et d’organisations voient en l’alimentation locale une solution incontournable pour se sortir de l’impasse dans laquelle nous a amené le modèle dominant de production agricole au Québec.

Il est surprenant de remarquer que de plus en plus d’organisations et de groupes d’intérêt, qui ont traditionnellement des visions très différentes de l’agriculture, s’entendent sur la nécessité d’augmenter la consommation des aliments locaux. À titre d’exemple, Équiterre, l’Union des producteurs agricoles (UPA) et la Fédération des coopératives d’alimentation du Québec se sont regroupés pour élaborer une campagne de sensibilisation, "L’achat local... Toujours en tête!"
(voir argumentaire de la campagne sur le site d’Équiterre à http://www.equiterre.org/agriculture/informer.php).

Voici quelques questions pour susciter la discussion? Soyez bien à l’aise d’y ajouter vos questionnements, tout en respectant autant que possible la thématique proposée!
Quelles sont ces organisations et groupes d’intérêt qui font la promotion de la localisation?
Quels sont leur position, leurs arguments, leur vision sur l’alimentation locale ou de la localisation? Sur l’agriculture et l’alimentation en général?
Existe-t-il plusieurs visions différentes de l’alimentation locale?
Pourquoi des groupes aussi diversifiés font la promotion d’une même idée?
Qui sont les groupes qui n’ont aucun intérêt envers la localisation? Et pourquoi?


Deuxième volet : Argumentaire sur la localisation

Encourager une alimentation et une agriculture de proximité comporte certainement plusieurs avantages à caractère environnemental, politique, social, économique, de santé publique, éthique ou culturel. Cependant, il y a aussi certaines limites à la localisation de l’agriculture.

Voici quelques questions pour susciter la discussion? Soyez bien à l’aise d’y ajouter vos questionnements, tout en respectant autant que possible la thématique proposée!
Quels sont les avantages de la localisation, en regards aux dimensions environnementale, culturelle, politique… et de façon globale?
Pensez-vous qu’il serait possible de ne consommer que des aliments locaux? Quelles sont les limites de la localisation?


Troisième volet : Pistes de solutions

Il n’est pas tout d’avoir de belles idéologies, toujours faut-il trouver le moyen de les mettre en œuvre. Si l’alimentation locale au niveau individuel présente déjà de beaux défis, la relocalisation de notre système agroalimentaire nous met face à des défis encore plus grands et plus complexes. Il nous faut ainsi dépasser les choix alimentaires des individus pour comprendre les rouages des décisions et des actions d’une société.

Voici quelques questions pour susciter la discussion? Soyez bien à l’aise d’y ajouter vos questionnements, tout en respectant autant que possible la thématique proposée!
Quelles sont les solutions concrètes pour encourager la localisation de l’agriculture au Québec, sur le plan politique, économique, social, éducationnel, …?
Quels sont les principaux facteurs qui nuisent ou qui pourraient nuire à de tels changements?
Quels groupes d’intérêt pourraient s’opposer à de telles solutions? Quels seraient leurs arguments? Avez-vous des contre-arguments à proposer?
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NicG
participant-e



Nombre de messages : 6
Date d'inscription : 15/11/2005

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MessageSujet: Re: Pour la Commission sur l’avenir de l’agriculture...   Pour la Commission sur l’avenir de l’agriculture... EmptyVen 23 Mar à 17:02

OYEZ À TOUS ET TOUTES!

Je vous transmet ici le recueil des opinions des membres d'Aliments d'ici qui se sont réunis ensemble le 11 février dernier. Il porte sur 9 des 10 thèmes abordés dans les enjeux de la Commission. Ce document est un premier jet pour continuer la réflexion.

Nous ajouterons également des informations suite au colloque sur la souveraineté alimentaire, qui va sûrement nourrir nos idées! N'hésitez pas à nous laisser vos propres opinions!

Bonne lecture!

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Prise de position du groupe Aliments d’ici quant à la déclaration commune Union paysanne et cie face aux enjeux de la Caaaq
Document appuyés par :
Nicolas Gauthier, Marie-Andrée Beaulieu, Véronique Bouchard, Martine Émond, Annick Dallaire, Jean-Claude Ménard, Olivier Lamoureux, Denise Boulais, Alain Farmer.


Les critères sur lesquels nous appuyons notre énoncé sont basés sur notre recherche permanente d’une alimentation locale, saine et abordable.

Thème 1 : Les besoins alimentaires de la population
Pour nous, la préoccupation grandissante de la population à l’égard d’une meilleure qualité des aliments passe par une plus grande consommation d’aliments locaux, ceux-ci ayant voyagé moins longtemps et ayant ainsi conservé une plus grande partie de leur qualité nutritionnelle; par une plus grande consommation d’aliments biologiques, parce qu’on goûte vraiment le produit et on sait d’où il vient, ainsi que par l’étiquetage obligatoire des produits pour divers éléments ayant trait à la provenance locale des produits, de même que pour des éléments potentiellement nocifs pour la santé humaine et environnementale, tel l’utilisation des OGM, ainsi que pour tout e qui a trait à la mise en application de critères liés à une éthique équitable des produits qui viennent de l’étranger.

Bien manger, c’est prendre le temps de le faire, et ça s’apprend. C’est ainsi que nous croyons primordial d’informer chacun de nos concitoyens sur l’importance de prendre le temps de vivre et de se faire à manger, car ces habitudes s’intègrent dans un art de vivre qui se perd tranquillement au profit d’une course effrénée nous coupant toujours plus de nous même, de notre environnement et de notre assiette. Cette information passe par l’éducation de tous et chacun, du plus jeune à l’école jusqu’à la personne adulte qui regarde et s’informe sur la prise en charge de sa vie et de sa santé personnelle et familiale.

La préoccupation que nous avons face au gaspillage éhonté de nos ressources alimentaires (de 40% à 50% de la nourriture produite, transformée et distribuée, selon le Document de consultation : Cool mise en parallèle à la quantité grandissante des dépannages alimentaires pour les plus démunis de notre société nous amènent à considérer que le problème réel n’est pas tant lié à la quantité de nourriture produite dans le monde, mais plutôt sur la manière dont la richesse globale tend à être de plus en plus inéquitablement redistribuée. C’est dans cette optique que nous croyons que la hausse constante de la productivité ne viendra pas régler ce problème d’insécurité alimentaire des populations démunies et cela nous mène donc vers un faux débat. Bien que ce problème général n’est pas seulement du ressort de cette Commission ni du milieu agroalimentaire, nous croyons fortement qu’une remise en question de la main mise de certains monopoles et oligopoles de producteurs et distributeurs alimentaires apporterait des éclairages nouveaux face aux gaspillage de notre nourriture et de la difficulté d’accès des citoyens à des prix acceptables pour celle-ci.


Thème 2 : La production agricole
Nous croyons qu’il est essentiel que la production locale soit appuyée par le gouvernement afin de permettre un financement adéquat aux petits producteurs biologiques, et ce dans une perspective où ceux-ci pourront développer davantage de liens avec leurs communautés locales afin de rapprocher les producteurs des consommateurs dans un environnement qui revalorise les marchés de quartier et villageois. Cette production doit également devenir plus diversifiée dans la production de fruits et légumes.

De plus, nous croyons que c’est en s’appuyant sur la valorisation des petits producteurs que la consommation locale des aliments va être de plus en plus valorisée, et ce au détriment des pratiques déloyales de dumping pratiquées par les pays occidentaux envers les pays en développement par le biais de producteurs géants qui se débarrassent de leur production subventionnée, ruinant ainsi les économies locales de plusieurs pays en développement qui voient leurs économies locales déstructurées par la mondialisation des marchés. Ce principe de souveraineté alimentaire doit émerger dans la conscience de tous, autant pour le respect de nos traditions agricoles que celles des autres pays.


Thème 3 : la transformation alimentaire
Dans une perspective de valorisation de la consommation locale des aliments, il est important de valoriser toujours plus nos produits du terroir québécois, et ce dans le but de revaloriser notre culture culinaire, notre goût pour ce qui est bon et de bonne qualité. Cependant, il faudra le faire en gardant à l’esprit la valorisation de la production artisanale et à petite échelle (du moins pour une large partie de ce qui se produit) en gardant le souci de ne pas transformer chaque produit en élément à propager sur toute la province ou partout dans le monde, telle une fabrication standardisée ayant été édulcorée de son originalité et de sa saveur particulière afin de l’intégrer dans une production de grande échelle qui lui enlève sa saveur locale. La standardisation des chaînes de restauration rapide à la grandeur de la province nous prouve déjà le manque de cachet local que représente le fait d’arriver dans une petite ville et toujours y retrouver les mêmes bannières, au détriment des petits restaurant locaux qui pourraient faire la fierté d’une région.


Thème 4 : La distribution des produits alimentaires
Nous croyons que le gouvernement doit appuyer les diverses initiatives afin de valoriser les alternatives de mise en marché et ainsi permettre aux commerces indépendants d’avoir une plus grande place dans le marché.


Thème 5 : Le commerce extérieur de produits agricoles et agroalimentaires
Nous croyons fermement au principe de souveraineté alimentaire pour tous les pays, et qu’ainsi l’application des lois du marché au niveau agricole et agroalimentaire ne peut être compatible avec celui-ci. Voilà pourquoi nous appuyons le financement des petits producteurs agricoles biologiques tout en dénonçant les pratiques de dumping qu’exercent les pays où l’agrobusiness est fortement subventionné aux gros producteurs.


Thème 6 : Le développement des ressources humaines
Nous dénonçons le fait que l’agriculture est à peu de choses près le métier le plus risqué et le moins bien rémunéré du marché du travail. Nous croyons que le gouvernement doit supporter les producteurs agricoles, tout en ayant une remise en question plus profonde sur les mécanismes de production et de distribution qui coupe l’oxygène à ces mêmes producteurs et qui fait tomber les plus petits dans tout la chaîne agroalimentaire.


Thème 7 : L’agriculture, l’agroalimentaire et l’environnement
Nous croyons que c’est dans une production à petite échelle et biologique que le respect de l’environnement va s’exercer d’une manière toujours plus concrète, spécialement en ce qui a trait à l’utilisation des pesticides qui contaminent l’eau et les sols. Une production et consommation plus locale favoriserait également une diminution des émanation de gaz à effet de serre, sachant que la moyenne de notre nourriture parcours actuellement en moyenne 2500 km avant d’arriver à notre table. En ce qui a trait à la production biologique qui peut parfois demander une superficie de terre plus grande pour le même rendement, nous croyons que le gouvernement devrait plutôt inciter la population à diminuer sa consommation de viande, sachant que la superficie utilisée pour celle-ci est beaucoup plus importante que celle utilisée pour des protéines végétales.


Thème 8 : La santé et les préoccupations des consommateurs
Par une plus grande production d’aliments biologiques ainsi que par leur étiquetage obligatoire pour leurs éléments potentiellement nocifs pour la santé humaine et environnementale, tel l’utilisation des OGM, nous croyons qu’il est possible de prendre en considération nos préoccupations face à l’utilisation des pesticides et des technique biogénétiques. Le gouvernement devrait mettre également plus d’emphase sur la recherche et/ou la diffusion de leurs résultats afin de bien calculer quels sont les coûts environnementaux et sociaux de l’utilisation de ces éléments dans notre agriculture.

De plus, la valorisation de l’élevage à plus petite échelle dans une perspective de consommation locale devrait également s’appliquer face au mode actuel d’élevage industriel produisant de nouvelles maladies qu’il devient par la suite difficile de contrôler. Ces méthodes ne sont pas seulement nuisibles pour la santé humaine, mais viennent également nous questionner quant à notre éthique envers les animaux et les traitements que nous leur faisons subir.


Thème 9 : La ruralité et le développement régional
Nous croyons que les politiques favorisant un plus grand support auprès des petits producteurs aura un effet dynamisant afin de permettre à une plus grande quantité de personnes d’aller vivre en campagne. Une production agricole et agroalimentaire plus conviviale pourrait redonner à l’agriculture sont rôle structurant auprès des communautés rurales, un rôle qu’elle a progressivement perdu, entraînant même dans plusieurs régions des conflits sociaux (notamment en raison de l’expansion de l’industrie porcine) qui ont un effet plutôt déstructurant sur le milieu rural. Nous croyons que le gouvernement doit tout faire en son pouvoir pour véritablement décentraliser les pouvoirs qui sont actuellement entre les mains du gouvernement central (provincial ou fédéral) et de quelques oligopoles. Ces oligopoles détiennent un important pouvoir de lobby, auprès du gouvernement central qui amène souvent ce dernier à prendre des décisions qui vont à l’encontre des volontés régionales.


Thème 10 : La gouvernance
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Michael
Rang: facilitateur
Michael


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MessageSujet: Re: Pour la Commission sur l’avenir de l’agriculture...   Pour la Commission sur l’avenir de l’agriculture... EmptyMar 27 Mar à 15:11

Bonjour,
 
La rumeur est confirmée. La Commission sera à Montréal pour la tournée régionale le 25 avril prochain pour une audience de 13h30 à 16h30 et de 19h00 à 22h00 au Musée du fier monde, 2050 Amherst. Elle reviendra ensuite pour une table ronde en septembre sur le thème L'agroalimentaire et les préoccupations des consommateurs: un dialogue à construire. http://www.caaaq.gouv.qc.ca
 
La première date est sortie du chapeau je ne sais pas trop quand. Il était question de Montréal en juin et voilà qu'on se retrouve avec une très courte échéances pour préparer des mémoires et des présentations verbales. Avertissez vos contacts engagés dans cette commission.
 
Pour ce qui est du document découlant du colloque De la sécurité à la souveraineté alimentaire, nous vous donnerons des nouvelles très bientôt.
 
Yves Chartrand, Union Paysanne de Montréal
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Arthur
hyper-motivé-e



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Date d'inscription : 20/08/2005

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MessageSujet: Re: Pour la Commission sur l’avenir de l’agriculture...   Pour la Commission sur l’avenir de l’agriculture... EmptyVen 30 Mar à 12:50

Michael a écrit:
La première date est sortie du chapeau je ne sais pas trop quand.
Cela fait depuis environ début mars que la date montréalaise a été annoncée. Ça n'a pas fait grand-bruit, à la limite il fallait visiter le site de la CAAAQ régulièrement pour s'en rendre compte !

Michael a écrit:
voilà qu'on se retrouve avec une très courte échéances pour préparer des mémoires et des présentations verbales.
Oui, d'autant plus courtes que, pour toute personne ou groupe qui souhaitent déposer un mémoire à Montréal, il faut le faire avant le lundi de la semaine qui précède les audiences, soit le lundi 16 avril !

Michael a écrit:
Avertissez vos contacts engagés dans cette commission.
Après réflexion, j'ai décidé d'écrire un mémoire en mon nom personnel. Plus il y aura de mémoire dans le sens de l'agriculture locale et du concept de localisation, plus cela aura de poids !
Je me félicite que certains décident d'écrire collectivement pour Aliments d'ici.
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